Panique, cette machine pourtant convoitée et si crainte a bien malgré moi fait son apparition dans la liste de mes objets-culinaires. Des années qu’elle incarne le malheur diététique, le gras suitant de chaque molécule des aliments. C’est de plus l’animal dangereux qui peut insidieusement réduire en cendres tout l’immeuble. Il peut me cracher dessus à la moindre approche et m’attaquer de façon catastrophique si je laisse ma timidité envers elle et ma maladresse prendre le dessus.
La friteuse ! Je vais la dompter et l’utiliser avec discernement pour avoir le plaisir sans faire de ma cuisine l’anti-chambre du fast-fat-food.
Pourquoi ??
Vu la pénurie de friteries correctes et couvertes dans les parages.
Vu que les samossas et les nems c’est délicieux.
Vu que rien ne vaut un bon beignet qu’il soit de morue ou saupoudré de sucre glace.
Vu que sans je me sentais parfois limitée dans certaines tâches culinaires… donc frustrée et la frustration est l’ennemi par excellence de l’alimentation.
Merci Papa et Maman !
Pour l’inaugurer, un grand classique de la cuisine belge, j’ai nommé boulettes-frites-sauce tomates ! J’ai bien sûr veillé à manger des légumes en entrées histoire de garder mon équilibre alimentaire.
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