Cela fait bien longtemps que j'avais repéré dans un magazine (sans doute le télémoustique) une recette d'un gazpacho blanc sans tomates, ni poivrons, ni concombres. Et cela m'a d'autant plus intéressé que je déteste tout simplement le gazpacho traditionnel. Cela ressemble trop à un jus de tomates que froid je ne peux avaler, vous l'avez compris un bloody mary (à base de vodka) ce n'est pas pour moi! La soupe froide j'aime plus souvent en sucré qu'en salé et je voulais voir si celle-ci à base d'ingrédients appréciés faisait exception.
J'ai suivi une recette marmiton presque à la lettre:
- la dernière tartine n'était pas de pain blanc mais de pain aux céréales
- je n'avais pas de vinaigre de xerès donc j'ai remplacé par du vinaigre de vin à l'échalote vu que le balsamique était bien trop doux (2bouchons)
- j'ai allongé à l'eau pour avoir une soupe épaisse mais pas de la purée mousseline
- 2 gousses d'ail vu mon amour pour lui
c'est assez spécial mais personnellement j'adore! Chéri n'a pas du tout adhéré et donc je le mange seule, peut-être qu'une seule gousse d'ail était suffisante car c'est cela qui l'a gêné.
Mon verdict est que vous devez essayer pour juger et ne pas abuser de l'ail car cru il est plus vite piquant que dans un bouillon.
Et pour suivre cette soupe fraîche, un peu de pain avec des bonnes choses. Sur le marché du midi, on a trouvé la réalisation du fantasme de chéri soit du saucisson entouré d'une couche de fromage, deux en un et c'était franchement pas mal coupé tout fin. Et puis du taleggio, si crémeux, une touche d'Italie en bouche... La vie est belle avec peu!
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